Non, il n'y a pas 118.000 décès de jeunes Américains attribués au vaccin Covid


Non, il n'y a pas 118.000 décès de jeunes Américains attribués au vaccin Covid

Publié le lundi 12 décembre 2022 à 16:42

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Vaccination contre le Covid aux Etats-Unis en juin 2022

( AFP / JOSEPH PREZIOSO)

Auteur(s)

Manon JACOB, Julie PACOREL, AFP Etats-Unis

Le Covid-19 a fait plus d'un million de morts aux Etats-Unis, selon les chiffres officiels, ce qui a généré une surmortalité exceptionnelle ces deux dernières années dans le pays. Des publications sur les réseaux sociaux assurent que la vaccination contre le Covid-19 est responsable de cette surmortalité, en particulier chez les jeunes. Mais ces affirmations sont infondées et cette surmortalité est due au Covid lui-même et non pas aux vaccins, ont expliqué les experts interrogés par l'AFP. Les effets indésirables des vaccins sont largement surveillés par les autorités sanitaires dans le monde et ils sont toujours considérés comme sûrs et efficaces.

"Le CDC [les Centres américains de prévention de contrôle des maladies, NDLR] confirme discrètement qu’au moins 118.000 enfants et jeunes adultes sont 'morts subitement' aux États-Unis depuis le lancement des vaccins COVID", titre un billet du site Les DéQodeurs, publié le 8 décembre 2022, laissant entendre qu'un lien est établi entre vaccination et mortalité "subite".

Les DéQodeurs, dont le Q majuscule fait référence à la mouvance conspirationniste d'extrême droite QAnon, a été classé comme média "complotiste francophone" par Conspiracy Watch.

L'expression originale en anglais "Died Suddenly" ("morts subitement") fait référence au titre d'un documentaire américain récent qui multiplie allégations fausses et trompeuses au sujet du vaccin Covid, en particulier l'idée infondée d'une vague de morts subites inexpliquées dues aux injections, comme expliqué dans cet article de vérification de l'AFP.

Les Déqodeurs soulignent que les chiffres des CDC américains montrent qu'il y a eu davantage de morts "excédentaires" chez les 0-44 ans en 2022 qu'à la même période en 2020, "au plus fort de la prétendue épidémie de Covid 19".  Un excès de mortalité, c'est le nombre de décès observé par rapport à celui attendu, établi en le comparant aux périodes précédentes, et ajusté en fonction du vieillissement démographique.

Les CDC, agences de santé publiques fédérales, sont régulièrement la cible de fausses informations qui ont déjà fait l'objet de plusieurs articles de vérification par l'AFP (123). 

9eba6ea923d68d4c83e5daccafa6284d73af9a29-ipad.jpgCapture d'écran du site lesdeqodeurs.fr le 9 décembre 2022

Dès le jour de sa publication, le billet a été très diffusé sur Twitter, notamment par l'ex-sénateur de Paris Yves Pozzo di Borgo, dont la publication a été partagée des centaines de fois. M. Pozzo di Borgo a déjà relayé des informations trompeuses, sur lesquelles l'AFP avait rédigé des articles de vérification, sur la vaccination en Allemagne ou encore sur l'application StopCovid.

Selon le logiciel de mesure d'audience sur les réseaux sociaux Crowdtangle, au 12 décembre, il a été partagé quelque 200 fois sur Facebook, notamment sur le groupe "Non au pass vaccinal", qui compte 21.000 membres.

d1c37f858a2701665bbc1682ac331f738d03803a-ipad.jpgCapture d'écran du site The exposé le 9 décembre 2022

Le texte  des Déqodeurs est une traduction d'un texte publié par un site britannique, The Exposé, le 30 novembre. Quelques jours plus tôt, le 24 novembre, le même site, fréquent relais d'allégations trompeuses sur le Covid, avait publié un article assurant que "au moins 1,1 million d'Américains" étaient "morts subitement" depuis le début de la campagne de vaccination contre le Covid, laissant entendre qu'il y avait un lien entre vaccin et décès.

The Exposé s'appuie sur des tableaux  publiés par l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui montrent une surmortalité en 2021 et 2022 chez les plus jeunes (de 0 à 44 ans) aux Etats-Unis par rapport aux années précédentes. 

Les chiffres avancés par The Exposé viennent bien de données officielles, et comme l'indique le site, ont bien été transmis par les CDC à l'OCDE, a confirmé le 7 décembre Miguel Gorman, porte-parole de l'OCDE, à l'AFP.

Mais selon lui, il est faux de parler de "morts subites": "Les chiffres montrent le nombre de décès excédentaires de toute cause - subite et autre - pour chaque semaine, en comparaison avec la moyenne attendue", explique M. Gorman. 

Au-delà de cet amalgame, The Exposé établit de lui-même un lien causal entre vaccination et mortalité dans son analyse : "cette 'mystérieuse' hausse soudaine qui a contribué à la mort d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains depuis la fin de 2020, est très probablement due aux injections de Covid-19", écrit-il. 

"En 2022 (jusqu'au 25 septembre), il y a eu 352.000 morts supplémentaires (tous âges confondus) par rapport à la même période sur 2015-2019, et près de la moitié de ces décès sont survenus pendant les dix premières semaines de l'année", insiste quant à lui M. Gorman. Selon les données de l'OCDE, ces semaines sont aussi celles pendant lesquelles le Covid a fait le plus de morts aux Etats-Unis.

"Cet article se focalise sur les morts excédentaires aux Etats-Unis et en conclut qu'ils sont dus aux vaccins sans jamais se demander s'ils ne sont pas en réalité dus à des infections au Covid", décrypte Gene Olinger, professeur à l'Université de Médecine de Boston et conseiller scientifique en chef de l'Institut de recherches en sciences appliquées MRI Global, interrogé le 7 décembre.

Une professeure de médecine à l'Université de Californie à San Francisco et responsable adjointe des maladies infectieuses à l'hôpital général de San Francisco, Monica Gandhi, interviewée le 6 décembre, va dans le même sens: "malheureusement, la mortalité excédentaire que nous avons observée aux Etats-Unis après la campagne de vaccination était sûrement liée à une moindre participation à la vaccination dans le pays que dans d'autres", ajoutant que la mortalité excédentaire était surtout portée par les Etats les moins vaccinés (qui sont aussi souvent ceux qui disposent de moins d'infrastructures médicales).

Par exemple, lors de l'arrivée du variant Delta fin 2021, les Etats-Unis ont enregistré un plus fort taux de mortalité que d'autres pays, selon Monica Gandhi, "avec des taux d'hospitalisation liés au variant Delta selon les Etats inversement proportionnels aux taux de couverture vaccinale". 

Selon les CDC, les personnes de 12 ans et plus qui ont reçu une injection de rappel ont un risque de décès 15 fois plus faible qu'une personne non vaccinée. 

Aux Etats-Unis, les CDC ont estimé que neufs morts dues à des syndromes thrombotiques thrombocytopéniques étaient liées au vaccin de Johnson & Johnson (appelé Janssen en Europe), soit environ 4 cas pour un million.

En France, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) écrit au 28 novembre dans son dernier rapport global sur le suivi des cas d'effets indésirables, disponible sur cette page: "Concernant les cas de décès déclarés, les éléments transmis n’indiquent pas un rôle potentiel du vaccin. Ces événements continueront de faire l’objet d’une surveillance spécifique". 

Jusqu'à présent, selon les données des agences officielles mondiales, la pandémie de Covid a causé la mort de 6,6 millions de personnes, dont plus d'un million aux Etats-Unis. 

Les autorités sanitaires du monde entier continuent de surveiller les effets secondaires liés à la vaccination anti-Covid. Plusieurs études se sont ainsi penchées sur des troubles cardiaques, très rares et, la plupart du temps, sans complications graves, mais ce sujet a été largement exagéré sur les cet article de vérification de l'AFP.

La désinformation au sujet des vaccins anti-Covid est récurrente sur les réseaux sociaux, en France notamment, et consiste souvent à laisser entendre qu'il y a un lien de causalité entre vaccination et décès, en interprétant de façon erronée les données de pharmacovigilance des autorités sanitaires.

L'AFP a consacré de très nombreux articles de vérification à ce sujet, comme ici par exemple. 

Comme expliqué par les différentes autorités de santé depuis le début des campagnes de vaccination, les données figurant dans les bases de pharmacovigilance destinées à surveiller de potentiel effets indésirables des vaccins ne supposent pas de lien entre le décès et l'injection. Seule une analyse médicale approfondie peut établir un lien, le cas échéant. 

Statistiques relatives à une ou plusieurs déclaration(s) fact-checkée(s) par cet article

  • URL de la déclaration : https://lesdeqodeurs.fr/le-cdc-confir...
  • Texte de la déclaration :

    Les chiffres officiels discrètement publiés par les Centres américains de contrôle des maladies (CDC) confirment que près d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes sont morts depuis que la Food & Drug Administration (FDA) a accordé pour la première fois une autorisation d’utilisation d’urgence à un vaccin Covid-19 aux États-Unis.
    Cela a malheureusement entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne 2015-2019.
    Les chiffres révèlent également qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires en excès chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
    Mais l’année 2021 a été dans l’ensemble la pire année pour les décès chez les 0 à 44 ans, avec 291 461 décès en excès au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020. Et selon les chiffres officiels du CDC, cela était principalement dû à une mystérieuse augmentation soudaine des décès chez les enfants et les jeunes adultes à partir de la 31e semaine environ (3ème semaine de l’année soit à partir du 26 juillet environ, Ndt).
    Malheureusement, selon les données publiées par le gouvernement britannique, cette “mystérieuse” hausse soudaine qui a contribué à la mort d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains depuis la fin de 2020, est très probablement due aux injections de Covid-19.
    Comparé à d’autres pays, le gouvernement américain n’a pas su publier des données pertinentes et actualisées nous permettant d’analyser les conséquences du déploiement des injections de Covid-19. Cependant, nous avons finalement réussi à tomber dessus grâce à une institution connue sous le nom d’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE).
    L’OCDE est une organisation intergouvernementale comptant 38 pays membres, fondée en 1961 pour stimuler le progrès économique et le commerce mondial. Et pour une raison inconnue, elle archive une foule de données sur la surmortalité. Vous pouvez trouver ces données par vous-même ici.
    Le graphique suivant a été créé à partir des chiffres trouvés dans la base de données de l’OCDE. Des chiffres qui ont été fournis à l’OCDE par les Centres américains de contrôle des maladies (CDC). Il montre la surmortalité des enfants et des jeunes adultes âgés de 0 à 44 ans aux États-Unis, par semaine, en 2020 et 2021.
    Les chiffres officiels révèlent qu’il y a eu une légère augmentation de la surmortalité chez les enfants et les jeunes adultes lorsque la prétendue pandémie de Covid-19 a frappé les États-Unis au début de 2020.
    Cependant, avec l’introduction de l’injection anti-Covid-19, on aurait pu s’attendre à ce que les décès diminuent de manière significative dans ce groupe d’âge en 2021. Mais au lieu de cela, c’est le contraire qui s’est produit.
    La surmortalité chez les enfants et les jeunes adultes était significativement plus élevée chaque semaine en 2021 qu’en 2020, à l’exception des semaines 29 et 30. Mais ensuite, au cours de la semaine 31, quelque chose de radical s’est produit pour que les décès excédentaires augmentent de manière significative chez les enfants et les jeunes adultes.
    Et les chiffres officiels fournis par le CDC, montrent malheureusement que cette tendance s’est poursuivie en 2022.
    Les données les plus récentes publiées par le CDC couvrent jusqu’à la semaine 40, celle qui s’est terminée le 9 octobre 2022, et il convient de noter que les données des dernières semaines sont susceptibles de changer. Mais comme vous pouvez le voir ci-dessus, 2022 a également été une année importante pour la surmortalité chez les enfants et les jeunes adultes.
    À titre de comparaison, voici comment les chiffres de 2022 jusqu’à présent se comparent aux chiffres jusqu’à la semaine 40 en 2020 et 2021.
    Le CDC a confirmé qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
    Cependant, l’année 2021 a été de loin la pire, avec 27 227 décès supplémentaires à la 40e semaine suivant le lancement de l’injection anti-Covid-19 par rapport à ce qui s’est passé en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
    Le tableau suivant présente les chiffres officiels des CDC pour tous les décès et décès en excédent chez les enfants et les jeunes adultes aux États-Unis avant le lancement du vaccin contre le Covid-19, et après le lancement des vaccins contre le Covid-19 le 14 décembre 2020.
    Les chiffres ci-dessus révèlent que l’année 2022 n’a connu jusqu’à présent que 1 352 décès en excédentaires chez les 0-44 ans, en date de la semaine 40 par rapport à la semaine 51 de 2020, bien que l’année 2020 ait été l’apogée présumée de la pandémie de COVID et ait également compté 11 semaines supplémentaires de statistiques de décès.
    Mais les chiffres les plus inquiétants révélés dans le graphique ci-dessus sont le nombre total de décès et de décès en excès chez les enfants et les jeunes adultes depuis le lancement des injections contre le Covid-19.
    Près d’un demi-million de personnes âgées de 0 à 44 ans sont malheureusement décédées depuis la semaine 51 de 2020, ce qui a entraîné un nombre stupéfiant de 117 719 décès en excès par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
    L’espérance de vie moyenne aux États-Unis en 2020 était de 77,28 ans. Si nous devons croire le récit officiel selon lequel le Covid-19 est une maladie mortelle, alors nous pourrions peut-être convenir que 231 987 enfants et jeunes adultes jusqu’à l’âge de 44 ans mourant en 2020, entraînant 40 365 décès supplémentaires, était une conséquence malheureuse de cette maladie.
    Mais si nous devons croire le récit officiel selon lequel les injections contre le Covid-19 sont sûres et efficaces, alors comment expliquer la nouvelle augmentation du nombre de décès chez les enfants et les jeunes adultes en 2021 et 2022 ?
    Parce que nous savons que des millions d’Américains ont été contraints de recevoir ces injections, et nous savons que des millions de parents ont été contraints de forcer leurs enfants à recevoir les mêmes injections.
    La réponse réside dans le fait que le récit officiel est un mensonge pur et simple. Les vaccins contre le Covid-19 ne sont ni l’un ni l’autre.
    Les données fournies par le CDC, qui ont été incroyablement difficiles à trouver, ne nous donnent que des indices sur le fait que ce soit le cas avec tant de décès parmi les jeunes Américains. Mais d’autres données publiées par le gouvernement britannique le confirment.
    L’une des preuves le confirmant est un rapport publié le 6 juillet 2022, par l’Office for National Statistics du Royaume-Uni, qui est une agence du gouvernement britannique.
    Le rapport est intitulé “Décès par statut vaccinal, Angleterre, du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022“, et il peut être consulté sur le site de l’ONS (Equivalent britannique de l’INSEE, NdT) ici, et téléchargé ici.
    Le tableau 2 du rapport contient les taux de mortalité mensuels standardisés sur l’âge par statut vaccinal et par groupe d’âge pour les décès pour 100 000 personnes par années en Angleterre jusqu’en mai 2022.
    Nous avons pris les chiffres fournis par l’ONS pour la période de janvier à mai 2022 et avons produit le graphique suivant qui révèle les conséquences horribles de la campagne de vaccination de masse contre le Covid-19.
    Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés sur l’âge par statut vaccinal chez les personnes âgées de 18 à 39 ans pour les décès dus au virus Non-Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 –
    Chaque mois depuis le début de l’année 2022, les jeunes de 18 à 39 ans partiellement et doublement vaccinés ont été plus susceptibles de mourir que les jeunes de 18 à 39 ans non vaccinés. En revanche, le taux de mortalité des 18-39 ans triplement vaccinés s’est aggravé au fil des mois suivant la campagne de rappel massive qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
    En janvier, les jeunes de 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les jeunes de 18 à 39 ans non vaccinés, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 chez les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 chez les triplement vaccinés.
    Mais tout cela a changé à partir de février. En février, les 18 à 39 ans triplement vaccinés avaient 27 % plus de risques de mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 chez les triplement vaccinés et de 21 pour 100 000 chez les non vaccinés.
    Malheureusement, les choses ont encore empiré pour les personnes triplement vaccinées en mai 2022. Les données montrent que les 18 à 39 ans triplement vaccinés avaient 52 % plus de risques de mourir que les 18 à 39 ans non vaccinés en mai, avec un taux de mortalité de 21,4 % pour 100k chez les triplement vaccinés et de 14,1 % chez les non vaccinés.
    Les pires chiffres à ce jour concernent les personnes partiellement vaccinées. En mai, les 18-39 ans partiellement vaccinés avaient 202 % plus de risques de mourir que les 18-39 ans non vaccinés.
    Ce même rapport révèle également les taux de mortalité des enfants, bien que le gouvernement britannique ait tenté de les cacher.
    Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 personnes par années chez les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022, d’après les chiffres fournis par l’ONS -.
    En ce qui concerne les décès dus au Covid-19, l’ONS révèle que le taux de mortalité chez les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans s’élève à 0,31. Mais en ce qui concerne les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité s’élève à 3,24 pour 100 000 personnes par années, et en ce qui concerne les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité atteint le chiffre choquant de 41,29 pour 100 000 personnes par années.
    Malheureusement, il y a peu d’amélioration lorsqu’il s’agit de décès non liés au Covid-19.
    Le taux de mortalité toutes causes confondues, s’élève à 6,39 pour 100 000 personnes par années chez les enfants non vaccinés, et est légèrement supérieur à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
    Cependant, le taux va de mal en pis après l’administration de chaque injection. Le taux de mortalité par décès, toutes causes confondues, s’élève à 97,28 chez les enfants doublement vaccinés, et au chiffre choquant de 289,02 pour 100 000 personnes par années chez les enfants triplement vaccinés.
    Cela signifie, selon les données officielles du gouvernement britannique, que les enfants doublement vaccinés ont 1422% / 15,22x plus de risques de mourir de toute cause que les enfants non vaccinés. Alors que les enfants triplement vaccinés ont 4423% / 45,23x plus de risques de mourir de n’importe quelle cause que les enfants non vaccinés.
    Les chiffres fournis par l’Office for National Statistics sont à la fois standardisés par âge et des taux pour 100 000 habitants. Ils constituent donc la preuve définitive que les injections de Covid-19 augmentent le risque de décès d’une personne. Ce qui signifie que les injections de Covid-19 ont tué et continuent de tuer des gens.
    C’est pourquoi il n’est pas surprenant de découvrir qu’un rapport secret du CDC confirme qu’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains sont morts à la suite du déploiement du vaccin contre le COVID, ce qui représente près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne des cinq années 2015-2019.

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