Non, le SADS ou "syndrome de la mort subite des adultes" n'a pas été créé pour justifier des morts liées au vaccin anti-Covid


Non, le SADS ou "syndrome de la mort subite des adultes" n'a pas été créé pour justifier des morts liées au vaccin anti-Covid

Publié le lundi 11 juillet 2022 à 17:56

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(AFP)

Auteur(s)

Claire Line NASS, Marisha GOLDHAMER, AFP Canada

Le SADS, ou "syndrome de la mort subite de l'adulte", aurait été créé pour justifier des décès liés au vaccins contre le Covid-19, prétendent des articles de blogs relayés depuis la mi-juin. C'est faux, selon les autorités sanitaires et plusieurs experts interrogés par l'AFP : les syndromes de mort par arythmie soudaine, dont l'acronyme en anglais est SADS, sont connus et étudiés par la communauté scientifique depuis des décennies. Le SADS n'a par ailleurs pas été identifié par les autorités sanitaires comme un effet secondaire potentiellement lié à la vaccination.

"Les morts subites causées par le vaccin sont maintenant si courantes qu'ils lui ont attribué un nom de SYNDROME : le syndrome de la mort subite de l'adulte (SADS)", assurent des articles de blogs (ici, , ) partagés plusieurs centaines de fois depuis la mi-juin.

"Le syndrome de la mort subite : Un nom de code pour la mort par vaccination", prétend même un post Telegram vu plus de 10.000 fois depuis le 20 juin. Des allégations semblables ont été relayées sur Facebook et Twitter. 

32bfbd1e56d780451979e7415c5957c256d0cfe4-ipad.jpgCapture d'écran, prise le 08/07/2022

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Des internautes ont également assuré qu'outre ce "syndrome de la mort subite de l'adulte", ce qui est présenté comme son équivalent infantile, le SIDS (acronyme en anglais faisant référence au "Sudden Infant Death Syndrome", connu en français sous le nom de la mort inattendue du nourrisson, ou MIN), serait également lié à la vaccination.

Des affirmations semblables ont été largement partagées dans des publications sur Facebook, Twitter et Instagram en anglais depuis la mi-juin. 

Pourtant, deux chercheurs interrogés par l'AFP ont expliqué que ni le SIDS, ni le SADS, qui sont connus depuis de longues années, ne figurent parmi les effets secondaires potentiellement liés à la vaccination contre le Covid-19 fin juin 2022. 

La mort inattendue du nourrisson, et son acronyme anglais SIDS

Le SIDS, pour "Sudden infant death syndrome" auquel il est fait référence sur les réseaux sociaux, est l'équivalent en anglais de la mort inattendue du nourrisson, ou MIN, qui correspond au "décès d'un nourrisson survenant brutalement alors que rien, dans les antécédents connus du nourrisson, ne pouvait le laisser prévoir", indique ainsi sur son site l'Observatoire national français des MIN (OMIN), qui vise à, notamment, recenser les données sur les MIN en France.

Ces morts inattendues ont lieu "le plus souvent pendant le sommeil" des nourrissons et peuvent "toucher un bébé de 0 à 24 mois, mais dans 8 cas sur 10, elle survient avant l'âge de 6 mois", indique le site des Hôpitaux Civils de Lyon.

Au fil des années, ces décès inattendus chez les nourrissons ont eu plusieurs appellations, comme le note une enquête nationale publiée sur le site de Santé Publique France sur les morts inattendues des nourrissons entre 2007 et 2009. "Le concept de mort subite du nourrisson (MSN) apparaît dès le dix-neuvième siècle, sous le terme 'Sudden Infant Death Syndrome'(SIDS) chez les Anglo-Saxons : il s'agit d'enfants en bonne santé, retrouvés décédés dans leur berceau sans explicationapparente", précise ainsi l'enquête.

Le SIDS est ainsi largement documenté par les autorités sanitaires nord-américaines. Le ministère de la santé du Canada indique ainsi sur une page dédiée à ce syndrome qu'il correspond au "décès subit, durant le sommeil, d'un nourrisson de moins d'un an qui demeure inexpliqué même après un examen approfondi du cas, y compris un examen de la scène du décès, une revue des antécédents cliniques et une autopsie complète".

Les causes exactes des morts inattendues des nourrissons restent ainsi méconnues. Leur nombre est en baisse générale au Canada, notamment depuis que le pays a commencé à recommander aux parents de coucher les nourrissons sur le dos, pour éviter de gêner leur respiration. D'autres facteurs, comme l'allaitement, ont aussi pu être associés avec des risques plus faibles de morts inattendues du nourrisson dans des études.

0dcb9e75b659ebb88c4f9741fde2a740e1060156-ipad.jpgUne femme porte un nouveau-né à l'hôpital "Communautaire de Référence" à Port-Salut, à Haiti, le 18 août 2021

En France, depuis 1975, le nombre de MIN a, de façon générale, baissé, selon des recherches publiées sur le site de Santé Publique France en 2008. Néanmoins, l'OMIN note que "la France reste l’un des pays à fort taux de MIN au sein de l'Europe avec 250 à 350 décès d'enfants par an", précisant encore que "malgré la baisse des taux de MIN observée à la suite des campagnes de prévention au début des années 1990, la MIN continue d'être la principale cause de décès chez les nourrissons âgés de un mois et un an dans les pays développés, notamment en France".

Outre les allégations partagées sur les réseaux sociaux affirmant que le SIDS (ainsi que le SADS) sont liés à la vaccination anti-Covid, d'autres affirmations virales, notamment en Amérique du Nord, qui circulent depuis plusieurs années et visent particulièrement les parents de jeunes enfants, prétendent que ce syndrome est lié à la vaccination de façon générale. 

Cependant, selon les autorités sanitaires du Canada et des Etats-Unis, il n'existe pas à ce jour de données permettant d'établir que la vaccination aggrave le risque des morts inattendues des nourrissons. Au contraire, la vaccination "n'augmente pas le risque de SIDS, et peut même le réduire", d'après le ministère de la santé du Canada.

Les CDC, pour "Centers for Disease Control and Prevention", qui forment la principale agence de santé publique américaine, indiquent aussi sur leur site que "des études ont conclu que les vaccins ne causent pas et ne sont pas liés au SIDS"

Rachel Moon, la présidente du groupe de recherches sur le SIDS de l'Association Américaine de Pédiatrie, avait déjà affirmé en juillet 2021 auprès de l'équipe de vérification de l'AFP aux Etats-Unis que bien que la période au cours de laquelle le risque de SIDS est élevé chez les nourrissons et la période durant laquelle les bébés se font vacciner coïncident, "plusieurs études ont examiné cette question et ont constaté qu'il n'y a pas de relation de cause à effet, ce qui signifie qu'il s'agit d’une coïncidence temporelle". 

Le syndrome de mort par arythmie soudaine, ou SADS

Les publications sur les réseaux sociaux prétendent aussi que les décès liés aux vaccins ont été regroupés sous l'appellation SADS, qui correspond, en anglais, aux "Sudden Arrythmia Death Syndromes", nommés dans les publications "Sudden Adult Death Syndrome", et traduits en "syndrome de la mort subite de l'adulte".

Ils consistent en "une variété de troubles de l'arythmie cardiaque, qui sont souvent génétiques et peuvent être responsables de mort soudaines chez des jeunes, apparemment en bonne santé", selon le site de la fondation canadienne des syndromes de mort subite par arythmie. 

Parmi les troubles du rythme cardiaque pouvant être considérés sous cette appellation figurent ainsi le syndrome du QT long, la tachycardie ventriculaire polymorphe catécholaminergique (TVPC), le syndrome de Brugada, la cardiomyopathie ventriculaire droite arythmogène (CVDA), le syndrome QT court et le syndrome de Timothy. Ces derniers conduisent à un rythme cardiaque anormal (l'arythmie), qui, s'il n'est pas traité, peut conduire à un arrêt cardiaque et au décès de la personne. 

Mais les troubles rassemblés sous l'acronyme SADS ne sont pas nouveaux, à l'inverse de ce que prétendent les publications sur les réseaux sociaux, rappelle Cyrus Hadadi, directeur associé de la recherche sur l'arythmie cardiaque à l'Institut de recherche médicale MedStar Heart & Vascular Institute à Washington. Selon lui, le premier cas a en effet été documenté en Allemagne au dix-neuvième siècle.

"En tant que cardiologues, nous traitons le SADS depuis des années", a-t-il assuré le 24 juin 2022 à l'AFP. Il a ajouté que bien que chaque cas soit unique, les troubles du SADS sont génétiques, les enfants ayant 50 % de chances d'hériter de la maladie de leurs parents. Cyrus Hadadi a par ailleurs assuré qu'il n'y a pas de lien établi entre les vaccins et l'arythmie cardiaque. "Rien ne permet de dire que le SADS est causée par la vaccination contre le Covid-19", a-t-il précisé, ajoutant qu'il n'avait pas observé de hausse récente des cas de SADS.

Le ministère de la santé canadien a de son côté indiqué à l'AFP le 23 juin n'avoir connaissance d'aucune augmentation des signalements de SADS depuis le début du déploiement du vaccin contre le Covid-19. "À ce jour, aucune déclaration de SADS après la vaccination contre le Covid-19 n'a été soumise à l'agence de la santé publique ou à Santé Canada [le ministère de la santé canadien, NDLR]", selon ce dernier. "Les avantages des vaccins autorisés au Canada continuent de l'emporter sur les risques", a encore indiqué Santé Canada.

La "Fondation SADS" aux États-Unis, composée selon son site de familles et de professionnels de santé qui "font progresser les soins pour les personnes atteintes d'arythmie cardiaque qui peuvent entraîner une mort soudaine", recommande elle aussi que les patients atteints de SADS reçoivent le vaccin contre Covid-19. "Rien n'indique que les vaccins disponibles contre le Covid-19 causent l'apparition de SADS ou l'aggravent", a indiqué la fondation dans un communiqué publié le 21 juin.

En France, le SADS ne figure pas parmi les effets secondaires surveillés des vaccins contre le Covid, selon la foire aux questions sur la vaccination mise à jour le 7 juillet 2022 sur le site "vaccination info-service".

Une étude publiée le 23 juin dans la revue médicale The Lancet Infectious Diseases a évalué des données provenant de 185 pays et territoires, et a conclu que les vaccins contre le Covid-19 ont empêché près de 20 millions de décès dans l’année suivant leur introduction.

Les myocardites, différentes du SADS

Par ailleurs, de rares cas de myocardites, des inflammations du muscle cardiaque, et de péricardites, des inflammations de la membrane qui entoure le cœur, ont été signalés après la vaccination contre le Covid-19, et sont surveillées par les autorités sanitaires depuis l'ouverture de la campagne de vaccination anti-Covid à toute la population en France, comme détaillé dans cet article.

Cependant, ces inflammations cardiaques sont différentes du SADS, comme l'a précisé Jeffrey Hsu, cardiologue au département de santé de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), le 23 juin à l'AFP. "La myocardite est un état dans lequel il y a inflammation du tissu cardiaque, tandis que la SADS est une mort soudaine causée par des conditions dans lesquelles le tissu cardiaque semble normal", a-t-il expliqué. "Rien ne prouve que les vaccins contre le Covid-19 causent l'un ou l'autre des troubles pouvant mener à la SADS", a résumé Jeffrey Hsu.

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, de nombreuses études ou publications scientifiques font l'objet d'interprétations trompeuses sur les réseaux sociaux. En mai 2020, l'AFP avait rappelé quelques repères pour s'y retrouver dans un article. L'AFP a réalisé plus de 770 articles de vérification en français liés au Covid-19 depuis le début de la pandémie, au 23 juin 2022.

Statistiques relatives à une ou plusieurs déclaration(s) fact-checkée(s) par cet article

  • URL de la déclaration : https://www.profession-gendarme.com/l...
  • Texte de la déclaration :

    Les morts subites causées par le vaccin sont maintenant si courantes qu’ils lui ont attribué un nom de SYNDROME : le syndrome de la mort subite de l’adulte (SADS)
    Jeudi 09 juin 2022
    par : Mike Adams _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
    déclarations qui reflètent l’opinion de l’auteur
    Contournez la censure en partageant ce lien :
    ( Natural News ) Le régime médical meurtrier sait que les vaccins covid tuent des jeunes en bonne santé à un rythme alarmant, alors ils ont soudainement attribué une étiquette médicale au phénomène afin de détourner les gens de la vérité. Désormais, les jeunes en bonne santé qui meurent subitement sans aucune explication médicale seraient morts du syndrome de la mort subite de l’adulte (SADS) plutôt que des vaccins.
    Alors que le SADS existait dans la terminologie médicale bien avant le covid, les médecins et les médias utilisent maintenant cette étiquette de syndrome d’une nouvelle manière : pour essayer d’expliquer les décès par vaccin. D’après ce que nous pouvons dire jusqu’à présent, il n’y a pas de telles «morts subites» chez les jeunes adultes non vaccinés. Jusqu’à présent, cela semble se produire uniquement parmi ceux qui ont été vaccinés.
    Le UK Daily Mail a publié un article détaillant ce nouveau soi-disant « syndrome » qui n’est bien sûr qu’une étiquette commode pour masquer la véritable cause sous-jacente de ces morts subites. Le titre de leur article est : « Des jeunes en bonne santé meurent soudainement et de façon inattendue d’un syndrome mystérieux – alors que les médecins cherchent des réponses par le biais d’un nouveau registre national », et il indique que toute personne de moins de 40 ans, « … peut potentiellement être à risque d’avoir le syndrome de la mort subite de l’adulte (SADS).
    Toutes les personnes de moins de 40 ans sont désormais censées «faire vérifier leur cœur», tandis que des médecins inconscients prétendent rechercher la «cause génétique» derrière le SADS.
    Jamais auparavant dans l’histoire de la médecine, les médecins et les médias n’ont exhorté les jeunes à « faire vérifier leur cœur ». Cela ne se produit qu’après la poussée mondiale des vaccins covid qui détournent les cellules du corps et les forcent à créer des particules de protéines de pointe qui provoquent des caillots sanguins.
    Des médecins meurtriers tuent des jeunes en masse avec des « injections de caillots »
    Vous ne pouvez pas inventer ça. La négligence médicale, l’incompétence et même la méchanceté derrière tout cela sont ahurissantes. Les médecins qui fonctionnent comme des complices de Big Pharma injectent aux jeunes des cocktails de thérapie génique contenant des séquences expérimentales d’ARNm qui produisent des protéines de pointe dans le sang, contribuant à la coagulation artificielle. Chez certaines personnes, les caillots se forment lentement au fil du temps, ce qui signifie que de nombreuses personnes se promènent avec des caillots sanguins partiellement formés dans leur système circulatoire .
    Parce que les injections d’ARNm modifient l’ADN et sont incorporées dans le code génétique – source : chercheurs de l’Université de Harvard et du Massachusetts Institute of Technology (MIT) – certaines cellules du corps continuent à produire indéfiniment ces protéines de pointe pro-coagulation. Ces facteurs de coagulation contribuent à la formation de caillots supplémentaires dans le corps, entraînant une diminution de la fonction cardiovasculaire et, surtout, une réduction du flux sanguin vers le cerveau , ce qui entraîne une perte de capacités cognitives supérieures. (C’est probablement la raison pour laquelle tant de personnes vaccinées ont subi des lésions cérébrales / un retard cognitif et ont plongé dans la rage animale du traitement émotionnel du monde qui les entoure.)
    À un moment donné, un ou plusieurs caillots dans le corps arrêtent complètement la circulation sanguine nécessaire au maintien de la conscience. À ce stade, la personne perd connaissance et meurt. Cela se produit souvent lorsqu’ils conduisent, pilotent un avion ou même dorment la nuit. C’est pourquoi tant de pilotes meurent dans le poste de pilotage, par exemple, ce qui est une cause majeure contribuant à la pénurie nationale actuelle de pilotes de lignes commerciales.
    Un médecin nommé le Dr Elizabeth Paratz – qui prétend se demander « quels gènes causent ce syndrome » – dit que 90% de ces décès spontanés surviennent en dehors de l’hôpital . (Source : Courrier quotidien britannique )
    L’Australie lance maintenant un «registre SADS» pour tenter de résoudre le mystère de la raison pour laquelle des adultes apparemment en bonne santé meurent spontanément. Ils le font tout en poussant plus d’injections d’ARNm sur ces mêmes personnes, apparemment inconscientes du fait que les injections d’ARNm sont des « injections de caillots ».
    Il est bien connu dans les biosciences que le code génétique viral est facilement et automatiquement incorporé dans l’ADN humain
    Les injections d’ARNm ne sont même pas techniquement des vaccins. Ce sont des médicaments expérimentaux de « thérapie génique » qui modifient non seulement la synthèse des protéines cellulaires, mais sont même incorporés dans l’ADN humain par transcription inverse . Il s’avère qu’un pourcentage important de l’ADN humain a été acquis via ce même processus sur plusieurs milliers de générations, où le matériel génétique circulant dans l’environnement est incorporé dans les chromosomes humains. Ce phénomène est largement connu même dans la communauté scientifique conventionnelle.
    « Des séquences de virus à ARN non rétroviraux ont été détectées dans les génomes de nombreuses espèces de vertébrés, y compris les humains », a déclaré le chercheur biomédical Liguo Zhang du Whitehead Institute du MIT. (Source : MIT.edu )
    Zhang a même mené une expérience pour tester si des fragments viraux SATS-CoV-2 pourraient s’incorporer dans l’ADN humain :
    Dans cet esprit, Zhang et Jaenisch ont commencé à concevoir des expériences pour tester si cette intégration virale pouvait se produire avec le nouveau coronavirus. Avec l’aide d’Alexsia Richards, post-doctorante du laboratoire de Jaenisch, les chercheurs ont infecté des cellules humaines avec un coronavirus en laboratoire, puis ont séquencé l’ADN des cellules infectées deux jours plus tard pour voir s’il contenait des traces du matériel génétique du virus.
    Dans tous les échantillons, ils ont trouvé des fragments de matériel génétique viral…
    En d’autres termes, des parties du SRAS-CoV-2 ont été incorporées dans l’ADN des cellules humaines. Un autre chercheur explique :
    « Il y a une empreinte très claire pour l’intégration LINE1 », déclare Jaenisch. « A la jonction de la séquence virale avec l’ADN cellulaire, il fait une duplication de 20 paires de bases.
    Quiconque prétend que le code génétique des protéines de pointe ne peut pas être incorporé dans l’ADN ignore carrément l’état de la science génétique moderne.
    L’ARNm de la protéine Spike devient de l’ADN humain qui transforme le corps en une usine de coagulation
    Comme le montre l’expérience ci-dessus, lorsque le corps reçoit une injection de matériel génétique, une partie de ce matériel peut être incorporée dans les chromosomes des cellules vivantes. Bien qu’il s’agisse d’une simplification excessive des mécanismes en jeu, le résultat global est le même : le corps devient une usine pour les protéines de pointe , les produisant bien au-delà de la fenêtre de temps prévue pendant laquelle un vaccin à ARNm pourrait fonctionner.
    En d’autres termes, la personne vaccinée devient une fabrique de protéines ambulantes qui ne peut jamais être éteinte. À partir de ce moment, ils deviennent une machine à excréter des protéines de pointe tout en déversant de plus en plus de protéines de pointe auto-synthétisées dans leur propre sang circulant .
    Au fil du temps, cela forme des caillots sanguins. Lorsque ces caillots terminent leur blocage ou les grosses artères, le sang ne peut plus atteindre le cerveau. Lorsque le cerveau n’a pas d’approvisionnement en sang, la mort cérébrale se produit et la mort du corps s’ensuit rapidement.
    On l’appelle maintenant le « syndrome de la mort subite de l’adulte » même s’il est clairement causé par des caillots sanguins induits par le vaccin.
    Voici une photo d’un caillot de sang prise chez un patient covid. Il montre le pouvoir de coagulation de la protéine de pointe, qui est également présente dans les vaccins covid :
    Des milliards de personnes sur notre planète sont désormais exposées au risque de mort subite induite par un caillot sanguin, le tout à dessein : le syndrome de dépopulation vaccinale
    En résumé, le régime médical meurtrier injecte d’abord à des milliards de personnes une arme biologique qui pourrait les tuer, puis ils font semblant d’être choqués et surpris quand tant de jeunes adultes en bonne santé commencent à mourir sans raison médicale apparente. Ces monstres médicaux n’ont-ils plus du tout d’humanité (ou de crédibilité scientifique) ?
    Bien que ce syndrome soit appelé SADS, ce qui est vraiment triste, c’est que tout a été fait exprès dans le but de parvenir à un dépeuplement mondial. Au contraire, ces décès devraient être étiquetés, décès dus au « syndrome de dépopulation vaccinale ». Mais bien sûr, les médias et les tyrans médiaux travaillent trois fois pour couvrir tout cela, et ils savent que les victimes vaccinées mortes ne parlent pas , donc ils ne peuvent pas dire aux humains vivants de se sauver en évitant ces coups mortels.
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    Source : Natural News

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